Bonjour à l’auteur.
Auttant vous l’écrire desuite, je ne suis pas vraiment d’accord avec vous. Sur la finalité, oui mais pas sur les moyens. Revenir à la monnaie nationale revient à laisser au pouvoir politique les moyens d’agir ( ? ) sans le moindre contrôle. Dépenses, dépenses, emprunts et au suivant quand on aura changé de cap, une fois à gauche, une fois à droite.
Ce n’est guère sérieux !
Et c’est vous, moi, nous qui paieront cette mégalomanie.
De là à soutenir la politique financière telle que définie par l’Europe ( vos dites tout le temps Bruxelles ) est un pas que je ne franchirai pas. En vérité, cette magnifique idée qui empêchera dorénavant toute guerre a été déviée de sa finalité et c’est bien là que le bât blesse : il n’y a pas d’Europe sociale, elle est restée en gare alors que le TGV Europe finances est quasiment arrivée au terminus.
Vous laisseriez Sarko dépenser ce que vous avez et plus et plus, vous ?
Moi pas ! Cela vaut tout autant pour Hollande.
Il est dorénavant impossible de revenir en arrière. A l’âge de la pierre, des suzerainetés locales, de la compétition entre états, de la déresponsabilisation, des dévaluations circonstancielles etc...etc...
Franchement, votre discours, même s’il en est éloigné question finalités est exactement celui de Marine Le Pen : le repli sur soi.
Il faut aller de l’avant ! Dans 30 ans, il n’y aura plus qu’une seule monnaie mondiale.
C’est SUS AU POUVOIR EXORBITANT DU DOLLAR que vous auriez dû défendre.
Et puis merde : pourquoi rembourser aux banques ce qu’elles nous ont volé ?
Est-ce logique que l’imposition directe ne serve qu’à leur payer les intérêts qu’on leur doit, que soi-disant on leur doit ?
Vous imagniez ? Un monde sans dettes qui repart à zéro ?
Tout est encore à inventer, le monde n’est plus qu’un vlllage. Vous, vous pensez que cela ira mieux en refusant la solution prônée par les villages voisins.
Vive l’Europe citoyenne et sociale. Attelez-vous à cela, nom d’un chien !