Une vision toujours aussi naïve de la société.
Mais si vous alliez jusqu’au bout du raisonnement (la banalité du mal), vous diriez que le mal vient donc de « l’homme de la rue », celui qui finira par haïr le voisin, l’étranger, le noir, le gitan, le juif, ou le riche.
L’homme du peuple est donc celui qui détient cette haine viscérale : le Peuple est dangereux, il faut donc se méfier du Peuple. Mais bien sûr vous n’irez pas jusqu’au bout.
Et puis qui différencie le Bien du Mal ?
Car plutôt que prendre la fable de l’holocauste vous auriez aussi bien pu prendre celle du Communisme, là où des bureaucrates et des militants ont martyrisé avec discipline, ... au nom du Bien de l’humanité.
Vous-mêmes n’allez pas au fond de ce qui est en vous.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération