Il est vrai que, si l’on devait parler ici de pèlerinage, je recommanderai vraiment celui de « Compostelle » qu’à fait Paolo Cuelho, auteur de l’Alchimiste, qui parle avec beaucoup de respect de l’Espéranto dans son livre : « Sur bord de la rivière Piedra je me suis assise et j’ai pleuré. »
On peut lire sur sa biographie « qu’Aujourd’hui Paulo Coelho est un homme honoré et une figure internationale de la scène littéraire. Au Brésil, il s’est vu récemment décerner une place à l’Académie des Lettres (l’équivalent de notre Académie française). Paulo Coelho a également créé une fondation pour le soutien des défavorisés au Brésil et s’investit dans de nombreux programmes humanitaires dans le monde, notamment pour l’Unesco. ».
Le rôle des syndicats n’est-il pas, justement, celui de soutenir et de défendre l’Homme sur son lieu de travail et de veiller à sa reconnaissance d’homme digne de ce respect et de considération !
Il est intéressant de remarquer que l’Espéranto, le plus souvent, est sous-tendu par cet esprit généreux d’universalité, de respect de l’Homme, de l’autre, de son identité, de sa culture, y compris de sa langue ! Alors, il est difficilement compréhensible que, tandis que certains consacrent leur vie à essayer de rapprocher les peuples, et pour cela de leur offrir une langue commune sans vouloir leur faire abandonner la leur, d’autres la consacrent à dénigrer tout ce qui est entrepris dans ce sens. Si ces personnes dépensaient autant d’énergie à élever un peu leur regard au-dessus de leur ceinture.................le monde irait déjà beaucoup mieux !
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