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En réponse à :


estevez (---.---.78.98) 24 octobre 2006 05:39

Cette mort est evidemment dramatique et je pense a sa famille qui doit etre dévastée, mais juste quelques precisions : Il n’etait pas journaliste(pas de cartes de journalistes) mais conduisez des interview à but promotionel. Il avait travaille auparavant au Cap Vert avec mademoiselle Sherryl Jeans et travaillait bien pour une petite société basé en Greces dont les propriétaires ont eux memes fait du publi reportage dans le passé, Maja Lapcevic et Steven Sharp. Dans ce métier du publi reportage, il n’est jamais question de publier ou de rechercher des informations sensibles, puisque le but est de flatter le client et donc en l’occurence le pouvoir en place. Si on se base sur la description des faits de RSF, quelques questions se posent : Pourquoi 2 asaillants etaient masqués et un troisième non, G de Bourges pouvait il les reconnaitre ou son interprete ? Pourquoi laisser en vie sa traductrice quand on sait qu’une vie ne vaut rien au Kazakstan ? Son assassinat intervient le jour de son départ, hasard ?

Sa mort n’a aucun rapport avec une information sensible, donc est ce crapuleux ou un reglement de comptes ?

Pour avoir vécu au Kazakstan, a Astana et à Almaty, des filles sont parfois rencontrées dans des bars et sont des rabatteuses pour des truands, ou elles communiquent adresses et details concernant ses biens. Il arrive aussi que quelques jolies filles sortent avec de riches vieux Kazaks pour l’alimentaire, mais aiment flirter avec un jeune europpéen ou Kazak, s’agirait il d un reglement de compte ou une simple jalousie ?

Il est sur que pour avoir commis cet acte de barbarie inutile et inhabituelle dans ces pays ou le but n’est que de prendre votre argent et s’enfuir, ces personnes en voulaient à G de Bourgues personnellement pour l’avoir violenter et torturer ainsi. Il est surprenant qu’ils aient pris soin de l’emmener dans sa chambre pour le faire parler sachant qu’il ne parlait pas le russe et donc ne pouvait communiquer qu’au travers de sa traductrice, pourquoi ne pas l’avoir tuer la ou il était attaché. L acharnement avec lequel ils l’ont tué montre plus une vengeance personnel ou on en profite au passage pour detrousser celui qui est "le contrat. Il me semble clair que G. de Bourgues connaissait ceux qui l’ont assassinés car l’acharnement sur une personne qui ne peux pas parler en Russe n’avait donc pour but que de le faire souffrir.


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