hmmm...la technologie employée pour ce type de mass monitoring ne nécessite pas l’accord tacite ou explicite des big corps citées : cela se récolte à la source (ISP) : donc les fournisseurs des compagnies « impliquées » qui depuis toujours ont « ouvert » l’accès aux services de renseignements : seules les technologies à même de gérer un tel flow d’info-com manquaient pour affiner leur traitement.
Et dans le cas présent, la NSA pourrait jouer la carte du « déni plausible » quant à l’extension de la surveillance ou quant à son statut d’acteur « passif », puisqu’elle a sous-traité ce job à des sous-traitants made in Zion, entreprises servant d’extension à l’Unité 8200 (la variante israélienne de la NSA) : une quarantaine d’entreprises de ce type existent fondées par des supposés « ex » agents de l’Unité 8200 et utilisant la tech développée par l’Unité 8200 à titre « privée » bien que plus que vraisemblablement le cordon ombilical avec le service-mère n’ait jamais été coupé.
La seconde vague du scandale -qui sera sans doute étouffée- pourrait bien être l’utilisation des données récoltées -sans nécessité d’accord avec la NSA- par les services israéliens et donc la confirmation du statut de Unité 8200 covert companies des sociétés sous-traitantes.
Afin d’illustrer cette possibilité : le cas des interrogatoires et détentions ciblés de citoyens US débarquant à Ben Gourion où la connaissance qu’ont les services zionistes du contenu de leurs conversations privées (emails et phone) dépassent les capacités des tech d’OSINT « conventionnelles » et nécessitent un accès direct aux comptes emails et aux conversations téléphoniques et non par monitoring des réseaux sociaux.