Les gouvernants qui ont trouvé normal, pendant 8 ans, de confier les clés de l’Eurogroupe au Premier ministre de ce fleuron de l’optimisation/évasion fiscale ont aussi leur part de responsabilité. Cela en dit long sur leur double langage : en vitrine, les envolées lyriques pour le bon peuple et, en arrière cuisine, les petits arrangements entre « grands » de ce monde.