Vos remarques sont parfaitement justifiées, et respectables, mais ce sont les vôtres. Je reste persuadée qu’il ne peut y avoir d’enseignement possible sans a la base le respect des élèves. Et je pense que dans le supérieur, l’enseignant n’a pas à s’arroger tous les droits comme de détruire les illusions des étudiants, mais à essayer de trouver ce qu’il y a de mieux en lui. C’est la seule façon de le faire avancer et de l’aider dans ses choix.
Mes collègues refusaient de noter un partiel avec des notes supérieures à 8/20, par principe. Ma fourchette allait de 2/20 à 18/20. Ce qui m’a été reproché pendant trente-deux ans. Je vois là un petit jeu du pouvoir que je n’admets pas.
C’est vrai que les prêts étudiants, remboursables à partir du premier emploi, ressemble à des subprimes et présente les mêmes risques. Il faudrait que soit mis en place un autre système de valorisation des diplômes, qui garantisse le plein emploi aux étudiants diplômés....et je sais que dans la conjoncture actuelle cela n’est pas encore possible. On a le droit de rêver.
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