En réponse à :
Isga,
Vos arguments sont ceux des europhiles de tous bords, c’est même à ça qu’on les reconnaît : « Si vous sortez de l’euro, ce sera une catastrophe ! »
Jacques Sapir qui veut aussi sortir de l’euro, explique très bien que cela ne sera pas l’apocalypse annoncée.
Sortir de l’euro, c’est pouvoir enfin dévaluer la monnaie, comme Chavez l’a fait 4 fois avec le bolivar en 14 ans.
Pour tout ce qui substituable, les Français prendront d’autres produits, en attendant de remettre l’économie en état, de réindustrialiser et de cesser les délocalisations par une remise en place du contrôle des capitaux.
La hausse des prix ne concerne que les produits non substituables, comme les carburants.
Lesquels prix des carburants sont essentiellement constitués de taxes à 75%.
Une dévaluation de 25% ne portera que sur les 25% du prix , soit au final 6,25% d’augmentation.
6,25% de hausse du prix des carburants valent bien la liberté de pouvoir à nouveau décider nous mêmes de ce qui nous convient et pas de faire les carpettes devant Goldman Sachs et la Troïka. Vu ?
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