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En réponse à :


kergen 27 juin 2013 11:03

MEA CULPA

La mort de Clèment est un drame, mais c’est effectivement un manip politique. Ou plutôt un emballement....qui est malgré tout vite retombé au fur et à mesure de l’enquête.

ET JE ME SUIS FAIT BAISE.

Je veux dire par là, que j’ai cru les premières informations parus sur la base des témoignages des copains de Meric. Et il apparait qu’ils ont menti.
La manière dont ils ont raconté ça, c’était trois pauvres petits étudiants antifa qui avaient prévenu le vigile de la présence de nazillons armées, celui ci devant agir, deux membres de la BAC se trouvant précisément là. Puis ils sont sorti et se seraient contenté d’attendre leur copain Clément qui sortait. Puis une fois sortis, les skins, sans préavis se sont jeter sur le seul Clément et l’ont massacré.
Avec cette version, on avait réellement un assassinat politique et l’affaire méritait une mobilisation de toutes les forces antifachistes du pays.

HELAS.

Il apparait, aux lueurs de l’enquête, que ce n’était ni si innocent, ni si angélique. Il apparaitrait(le procès confirmera) que les antifa auraient vraiment provoqué, surtout Clément, auraient menacé et attendaient (tous ensemble) pour en découdre. La vidéo, d’après la police, montre les pieds de Clément, passer derrière les skins puis ceux ci se retournant, ce qui accréditerait, que Clément ai tourné « l’ennemi » pour coller des pains et que ceux ci se seraient retourné.

DEUX VERSIONS, DEUX HISTOIRES. J’ai cru les yeux fermés la première. Je suis un peu humilié de m’être fait baladé et je ne peux excuser les petits enculés qui ont menti dans leur premières déclarations au risque de déclencher des effets en chaine incalculables.
La seconde accréditerait bien la thèse de la guéguerre entre antifa et nazillons. Et, quelque soit le résultat, quand on veut aller au charbon, on ne peut pas faire la pleureuse derrière en cas de malheur.

Dans mon jeune âge, je me suis frité méchamment la gueule avec les fachos de l’époque. Autant j’aurai porté plainte si j’étais tombé dans un guet-apens de trois mastards, autant je n’aurai jamais porté plainte après m’être fait explosé dans une baston « à la loyale ». C’est le jeu.

Le procès tranchera.


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