Au lieu de prendre les actions d’Adidas en nantissement, le Crédit Lyonnais , les a rachetées à Bernard Tapie, et pour ne pas montrer que c’était le Crédit lyonnais lui-même qui rachetait, en montant des portages .
Si portage il y a, le lyonnais est donc le véritable acheteur d’Adidas.
Or l’article 1596 du Code civil interdit à une banque chargée de vendre un bien de s’en porter acquéreur. Le CL ne peut être acheteur des titres Adidas, car c’est illégal. Les actions sont logées dans des entités offshores, pour bien masquer l’opération,
Il y a faute indubitable de la banque. A refaire le procès, le contribuable prend le risque de payer encore plus cher les dédommagements.