Pour cette deuxième partie je suis d’accord avec vous sur de nombreux points. d’abord c’est très bien explicité quoique vos phrases sont souvent bien trop longues.
« la différence entre démocratie directe et indirecte ne serait pas de l’ordre de l’institutionnel mais bien du civilisationnel. … » OK, mais pour ma part, je rappelle que la technique du tirage au sort, n’entre pas dans le cadre de la démocratie directe. C’est important de le dire parce que « l’ode à la démocratie directe grecque » a beaucoup servi pour la promotion de « ce tirage au sort ».
Je crois aussi que vous avez raison sur le questionnement fondamental du « passage des lumières modernes à ce que l’on pourrait qualifier de néo-obscurantisme postmoderne ? " .
et à mon avis ce ne sera pas une sinécure pour les citoyens de se libérer des tutelles ou carcans économiques, sociaux et financiers dans lesquels, notre société et notre imaginaire individuel se sont englués. C’est la gravité de la crise économique, sociale, écologique et morale (? ?) qui n’est pas près de s’arrêter, et la nécessité de remise en cause de plus en plus drastique de notre mode de vie consommatrice, qui nous obligera à reconsidérer notre engagement politique.
Et là nous aurons besoin des puissances de toutes les formes de démocratie, qu’elles soient représentatives, directes ou participatives qu’il faut revitaliser pour redéfinir un intérêt général basé sur une critique des besoins collectifs.
je suivrai avec intérêt votre troisième partie
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