« Soudoyés et guidés par des parasites sociaux qui ne sauraient déroger de leurs privilèges d’oisifs rentiers, ils travaillent servilement à détourner la richesse produite par le collectif au profit d’une pseudo élite dispendieuse et frivole. »
Je ne vois pas les choses comme vous, l’auteur... Pour moi ce déséquilibre et donc ceux que vous nommez « les peines à jouir » sont les symptômes apparents du mal qui ronge nos sociétés du bas en haut de l’échelle... soit la course au profit et l’individualisme sur fond d’inversion des valeurs...
Ils sont au sommet de la « pyramide », soit.. mais un sommet ne peut exister sans sa base ou alors un temps (celui de l’illusion)...
ce sont donc des « colosses » aux pieds d’argile... mais les virer comme vous proposez, dans le contexte actuel c’est à dire sans prise de conscience de la base et donc évolution des mentalités, c’est à plus ou moins court terme s’exposer à ce que se reproduise le même shéma avec d’autres acteurs, mêmes dotés au départ de bonnes intentions et ce,... ad vitam aeternam..
D’autre part, si le système financier s’écroule (ce que je pense advenir tôt ou tard), ce ne sont ni leur fortune ni leurs bien immobiliers qui les protégéront du chaos mondial qui en découlera (et qui est déjà bien amorcé), selon le principe du domino...
La révolution doit tout d’abord être intérieure.... après, elles s’inscrira dans la réalité selon la simple loi de cause à effet...
A moins de choisir l’autre option : révolutions, guerres, règlements de comptes, bref ce que nous faisons déjà depuis des siècles et pour le résultat qu’on connait à savoir de courtes périodes de « paix », reposant sur la compétition, la méfiance et la spoliation..
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