Qui parle d’exterminer qui que ce soit ? L’extermination, ici comme ailleurs, est la manière de régler les problèmes des idéologues et des utopistes radicaux, incapables d’imaginer qu’il puisse exister des solutions plus intelligentes que celles auxquelles leur sectarisme les conduits.
Empêcher le surnombre de naître, ou pour parler plus soft, réguler les naissances suffirait, ou plus exactement pourrait suffire, à condition que l’humanité prenne conscience de sa véritable situation. Cette situation est parfaitement illustrée par le concept de pyramide sociale, dans laquelle une masse de pauvre est condamnée à proliférer à sa base, quel que soit les régimes politiques, socio, économiques, ... en vigueur, comme si ces mêmes pauvres n’avaient qu’une fonction : mettre au monde des êtres humains qui soient assurés d’être dans leur grande majorité au moins aussi malheureux qu’ils le sont eux-mêmes.
Pour ce qui est d’un pourcentage de réduction de la population, certains ont avancé qu’une population de 3 à 5 millards d’être humains correspondrait à ce que la terre est en mesure de supporter sans dommages irréversibles. Et rien ne démontre qu’ils aient tort. Réduire la population totale du globe de 50% peut donc paraître un objectif raisonnable