Allez je me lance :
Le choix des uns et des autres en matière conjugale ne regarde personne d’autre qu’eux, qu’est-ce que ça peut faire aux gens si la compagne du président est comme ci ou comme ça ? Si j’avais été Hollande à Dijon devant la vieille dame qui lui disait de laisser tomber la Valérie, je l’aurais drôlement remise à sa place. Et, comme l’auteur, je pense que s’ils veulent se marier ou pas, c’est leur affaire et pas la nôtre.
Par contre, une clarification de statut est devenue plus que nécessaire, de même qu’une transparence et un contrôle sur les dépenses allouées.
PS : les Français n’appréciaient pas C. Bruni au début il se semble. (En fait, les Français n’apprécient pas grand chose ni grand monde on dirait).