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Mais le citoyen est au courant de la politique africaine de la France et acquiesce dans son ensemble. Il faut rappeler que sans ses néocolonies africaines, la France n’est pas grand chose. Son industrie pétrolière (Total) s’effondre, le prix de l’électricté devient démesuré (70ù de ’énergie électrique est produite à partir d’uranium en provenance du Niger, de RCA, du Gabon...), de grandes entreprises françaises verraient leur CA fortement affaiblis (Bouygues, Bolloré,Total, Areva, Orange...) et l’on aurait une croissance exponentielle du chomage français en temps de crise, sans compter le poids et le rayonnement international français qui se réduirait à néant. La francophonie serait réduite à peau de chagrin. Presque toute la classe politique en croque notamment en ce qui concerne le financement des partis politiques jusqu’en 2002 mais semble-t-il jusqu’en 2007 pour l’UMP mais aussi possiblement pour le PS. Beaucoup de médias vont ramasser la fraîche dans les dictatures que nous avons installé en Afrique. Qu’est allé faire le président de l’UMP Copé à Brazzaville la semaine dernière au forum économique organisé par Forbes ? Simplement ramasser de la fraîche chez notre ami dictateur qui nous doit tout ?
La seule sortie qu’il reste au citoyen face au cautionnement et à la légitimation de cette politique criminelle de la France est le mépris et le racisme ou la condescendance. Cela aide à tenir.
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