Bon article, quoique incomplet...
Vous avez raison de faire l’apologie de la pratique....L’a t’on remarqué, mais la plupart des footballeurs, qui ne sont pourtant pas focément des cerveaux, malgré l’usage immodéré de têtes, sont très souvent parfaitement polyglottes, et maitrisent pour certains, l’anglais, l’allemand, l’espagnol, voir l’italien, bien mieux que les cranes d’oeuf de l’ena, pourvu que leurs carrières se soient déroulées sous ces différents hospices !
J’ose espérer qu’il n’existe plus de profs comme j’en ai connu, qui se moquaient de l’accent et des fautes de leurs élèves....
Forcément, ceux qui professent maintenant, doivent connaitre tout autant la science de la pédagogie et de la participation, que les formes du prétérit.
Bon, sinon, le français n’est pas très riche en phonènes, très pauvre même, malgré sa complexité, contrairement au portuguais, ou au breton, par exemple.....
Ors, on ne peut répéter que les sons que l’on connait et que l’on maitrise....
Les langues pauvres en phonènes partent avec un lourd handicapp......
D’où l’on voit que l’on devrait évidemment encourager les langues régionales, au lieu de les sabrer......
Voyez, vous, la grande majorité des peuples européens sont bilingues dés le naissance, et ceci explique aussi cela....
Mais l’histoire a le hoquet, et si les élèves son nuls en langue, Freud, et l’inconscient collectif, pourraient apporter bien des réponses.