En réponse à :
Dans le système « libéral » qu’on tend à nous imposer, il reste un grand tabou.
C’est d’ailleurs pour cela qu’on nous rabat sans cesse sur la valeur travail, alors que le monde tourne sur la valeur pognon à court terme.
Un salarié est un produit comme un autre (d’où mise en concurrence par délocalisation etc...).
tout comme une entreprise .
la logique « libérale » voudrait qu’un individu aille à son unique intérêt, et là de nombreux choix imposés par le marché s’offre à lui.
1. il tentera tant bien que mal de faire monter sa valeur sur le marché du travail, sachant que cette valeur est très fluctuante et ne dépend pas que des qualités propres à cet individu.
2. il tentera de se lancer dans une activité qu’il crée lui-même, il paiera cher son indépendance , sans support financier, il sera toujours entre le marteau (le capitalisme de cartel) et le marteau (de l’état)
3. il ne fera rien, pensant que le salariat ne sert qu’à accéder au crédit qui le liera à un poste dont il n’est pas sûr qu’il existera pendant la période de son crédit. Le gain de temps lui servira au choix à regarder derrick et consort (voir pire les chaines d’info) ou à s’inscrire dans une activité plus proche de ses aspirations.
Chacun se positionne par rapport à cette problématique, même si aucune n’est réellement satisfaisante tant que le mensonge libéral (qui est le masque du capitalisme de cartel) ne sera pas balancé aux rebus des fausses bonnes idéologies.
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