Il faudra bien qu’un jour ils nous expliquent comment un pays qui ne produit plus rien se démerde pour continuer à acheter ce que d’autres produisent (Bien sûr, ce petit handicap de rien du tout qui consiste à ne même plus maîtriser sa monnaie, n’a rien à voir la-dedans, ni la libre circulation des capitaux, bien-sûr).
Ah oui ! il se transforme en club de vacances pour ouvriers fatigués des pays industrieux !
Wouah ! le super avenir que voilà !