Dette publique de l’Allemagne : 81,2 % du PIB, soit 2150 milliards d’euros. Je dis bien : 2150 milliards d’euros.
Vendredi 23 août 2013 :
« Euro-rettung, die rechnung, bitte ! »
« Sauvetage de l’euro, l’addition s’il vous plait ! »
Après l’annonce du ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble d’un probable nouveau plan d’aide à la Grèce après 2014, le Handelsblatt consacre un dossier à « l’addition » que les Allemands doivent payer pour le sauvetage de l’euro.
Le quotidien économique allemand critique Angela Merkel, qui s’était dite « incapable d’indiquer le montant du sauvetage de l’euro ».
« La chancelière poursuit visiblement un but cet été : garder le calme sur le front de l’euro », commente le Handelsblatt, qui a fait ses propres calculs.
Selon le journal, il en coûte à l’Allemagne quelque « 150 milliards d’euros, dont 42 devraient être rendus disponibles très vite. »
Handelsblatt pose quelques questions urgentes :
Est-ce que la politique de Merkel sauve le continent, ou est-ce qu’elle ne fait qu’apporter de la douleur ?
Quels sont les coûts du sauvetage de l’euro pour le pauvre brave contribuable allemand ?
L’Allemagne se surestime-t-elle, en voulant sauver la monnaie unique ?
Article en langue française :
L’Union Européenne, c’est des pays surendettés qui se surendettent encore plus, pour pouvoir prêter de l’argent à des pays en faillite qui ne les rembourseront jamais.
L’Union Européenne, c’est un suicide collectif.
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