Les horreurs s’expriment horriblement. On voudrait peut-être que cela se raconte sur le ton de la Comtesse de Ségur ? Et pourquoi pas la collection Harlequin ? Vilipender la forme pour mieux censurer le fond, vieille combine… L’auteur a parfaitement raison d’appeler crûment un chat un chat. Histoire de réveiller les hypocrites qui parlent de « voyeurisme » afin de continuer confortablement à ne pas voir, à ne pas entendre. Vous êtes choqués ? Tant mieux !
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