Du point de vue des mesures, les paramètres physiques du réchauffement sont noyés dans un bruit de fond qui rend douteux toute analyse des données observées.
Du point de vue physique, les différents paramètres de forçage et contre réaction sont trop faibles pour être mesurés et donc estimés.
Les climatologues tentent donc d’établir la preuve du RCA et de le quantifier par des simulations, tout en sachant bien qu’il leur manque des paramètres, mais en supposant que les paramètres manquants sont négligeables.
A l’arrivée, le modèle ne modélise pas. Les prévisions ne valent rien.
Cela n’empêche pas que l’on traine dans la boue tous ceux qui tentent d’expliquer quels sont les paramètres négligés ou les erreurs dans la modélisation ou dans les mesures, de peur que cela ne remette en question le dogme ou que cela atténue le châtiment divin qui nous menace.
Ouvrez les yeux : la température réelle est plus basse que prédite par le plus modeste des modèles avec les plus fortes limitations d’émission de CO2 (qui n’ont pas eu lieu). Mais le GIEC nous ment car il ne peut avouer qu’il aboutit à un échec après vingt ans de travail et de prévisions farfelues sur les conséquences et les actions à prendre pour lutter contre le réchauffement.
Il n’y a pas de « pause temporaire » ou de soi-disant « accumulation de chaleur » mystérieuse au fond des océans qui peuvent valider un calcul extrêmement complexes avec des miliers de paramètres et d’équations qui se révèle faux. Tout est à reprendre à zéro.
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