Le pacte germano-soviétique.
L’argument massue comme si l’histoire avait commencé ce jour là.
Je conseillerais donc à ceux qui nous rabattent les oreilles avec ce pacte de remonter le temps, de quelques mois seulement avant cette date. Ils apprendraient que les nombreuses offres soviétiques d’entente avec la France et le Royaume Unis furent repoussée par le très nazi-concilliant Chamberlain, qui poussait le très « nazi-équivalent » gouvernement polonais à refuser tout accord avec les russes. Cette politique d’atermoiement de Chamberlain était alors vertement critiquée aux communes par un certain Winston Churchill qui le poussait à « accepter ce bel et bon accord avec les russes ».
Mais Daladier et Chamberlain avaient d’autres idées en têtes, celles de Munich et des mais libres à l’est pour Hilter. Ils se sont fait couillonner et heureusement, car ce fameux pacte que vous vouez aux gémonies à permis à l’URSS de résister au choc avant d’écraser le nazime. Vous devez peut-être votre liberté au pacte germano-soviétique !
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