La féminisation de la magistrature a pour conséquence que quand l’accusé est un homme et la victime supposée une femme (affaires criminelles, affaires de mœurs, ou simplement affaires familiales) l’accusé bénéficie en somme d’une présomption de culpabilité.
Les juges femmes feront instinctivement pencher la balance du côté de la culpabilité de l’homme. J’ai vu diverses irrégularités dans le cas d’affaires familiales commises par la juge en collaboration avec la greffière pour faciliter la cause d’une plaignante, fort heureusement sans succès tant l’affaire était mal ficelée. Quelque chose comme la ’solidarité féminine’ joue, qu’il faut peut-être considérer comme un retour de bâton par comparaison à une période où la justice était exclusivement une affaire d’hommes.
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