Merci à l’auteur de l’article. Idem, je ne crois pas du tout à la seconde option. Nos gouvernants sont rentrés dans un processus où il nous est seriné que « nous » (la France) n’aurions pas les coudées franches pour agir à l’international pour virer à 180 ° sur notre politique économique. La vérité, comme vous le dites très exactement, c’est qu’on les a quand on veut les coudées franches : question de souveraineté nationale où à l’impossible nul n’est tenu, notamment. La vérité, c’est que nos gouvernants, de quelque bord qu’ils soient, sont corrompus. Si Sarko a joué ouvertement la carte de la collaboration, aujourd’hui c’est la carte de la lâcheté qui est glissée innocemment sur la table et ça, c’est vraiment nouveau. Nous sommes gouvernés par d’authentiques mafieux.
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