On vous explique : les dividendes c’est le reste après avoir payé l’ensemble des factures, des salaires et des impots et des charges. Ils sont toujours aléatoires par définition. Ce n’est jamais l’actionnaire qui décide la valeur ajoutée, le seul qui décide c’est le client.
Le problème des courbes et des « y’a qu’a »« faudrait ».
Par exemple les Bolchéviques de Hollande avaient vu qu’avec une logique de courbes, on augmentait les impôts, ça ramenait plus. Ils découvrent que les impôts rapportent moins. Les gens, les entreprises s’adaptent et n’ont rien a faire des courbes.
Votre raisonnement sympatrique sur le papier ferait les mêmes résultats, parce que vous devez comprendre que l’investissement est un « marché ».
La répartition de la valeur ajoutée se fait en fonction des besoins. Comme les entreprises ont besoin d’investisseurs, ils répartissent la valeur ajoutée sur leurs investisseurs pour en attirer d’autres.
En France, les Bolchéviques qui nous gouvernent et les corps intermédiaires sont tous issus de la fonction publique.
Ils considèrent les revenus du challenge ou du risque de l’investissement au même niveau que le leur sécurisé et contractuel.
La faiblesse des investissements est inversement proportionnelle au terrorisme intellectuel qu’ils fournissent envers les actionnaires qui prennent des risques.
Moralité classique les gens s’adaptent, ils n’investissent plus. Comme il y a moins d’investisseurs, et que la demande d’investissement est forte, ceux qui restent se dirigent vers les entreprises qui répartissent vers le plus de rendement.
Si vous voulez meilleure répartition de la valeur ajoutée, commençons par ne pas considérer les revenus du risque capitalistique comme celui du travail salarié assuré moins risqué et contractuel.
La coercission, l’impôt ne fait que créer la pénurie et donc augmenter la rareté des investisseurs. Dans un tel contexte, les investisseurs prendrons toujours plus parce qu ce qui est rare est cher.
La solution passe par moins imposer le capital. Mais allez dire ça a des fonctionnaires, jaloux et frustrés de leurs revenus limités contractuels, qui ne peuvent comprendre que des gens puissent gagner plus que eux parce qu’ils ont pris des risques.
La solution passe par la fin de l’overdose dans la fonction publique des élus et plus d’élus investisseurs. Le patrimoine dévoilé récemment montre a quel point ces gens sont décalés de l’économie.
Imaginez bien l’ubuesque, Hollande était « prof d’économie à Science Po ». Il n’a jamais investi dans une entreprise privée de sa vie, et encore moins dans une PME.