En réponse à :
L’Homme est un être grégaire, il est collectivement bon, et individuellement mauvais, et doit être constamment recadré par la collectivité.
Cette boulimie de biens matériels est propre à chaque individu, mais est tempéré par la collectivité qui voit dans ce comportement un danger potentiel pour le groupe ; en effet, le groupe n’existe plus si les individualismes s’imposent.
Si un individu parvient à satisfaire sa boulimie de biens, c’est toujours avec la complicité, où le laxisme du groupe.
Ce sera, soit parce que cet individu se sera imposé par la force physique, soit par son habileté à « manipuler » les autre membres du groupe, (par son « intelligence »)
Dans tous les cas, cette boulimie est l’expression d’une « pathologie » visant à s’extraire du groupe, elle est donc antisociale, par définition (opposée au groupe).
Ce qui ne veux pas dire, que dans une société dite « évoluée » cette pathologie (car çà reste une pathologie) doit être combattue, par contre, elle doit resté encadrée par l’article V. 2ème alinéa de la Délaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, qui stipule que :
< Les peuples libres ne connaissent d’autres motifs de préférences, dans leurs élections, que les vertus et les talents.>
Ce qui, de facto, exclus tous les autres motifs (comme : spéculation, vol, exploitation,extorsion, etc..etc.. liste non exhaustive)
Bref la « richesse » est licite tous le temps qu’elle ne se fait pas au détriment de la collectivité, ce qui n’est pas, loin s’en faut, ce que l’on observe actuellement, il faut le reconnaitre honnêtement !
N’est ce pas Spartacus ? 
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