La croissance tel qu’elle est vue, ne peut qu’amplifier les dettes : écologiques, des structures comme l’Etat, les régions et les collectivités locales et des ménages.
De plus la croissance n’est pas redistribué, elle est accumulée par une minorité d’individus, la croissance ne sert pas au masse, car les salaires ne sont plus indexés sur le taux d’inflation depuis 1983 (ah les fameux redistributeur socialiste).
L’amplification des problèmes écologiques devraient mettre en alerte les dirigeants et les agents d’influence sur les médias d’une décroissance nécessaire pour le maintien du système de vie sur Terre. Si les problèmes écologiques continuent, c’est vers la rareté et la pression climatique que l’on se dirige, de plus il faut conserver sa capacité de production par le renouvellement, ce qui n’est pas le cas des matières premières ou de la pêche par exemple.
La somme des dettes est devenue trop lourde pour que de nouvelles structures ou nouveaux mode de pensée émergent, sinon on ne fait que prendre du retard face à l’inévitable.
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