Je ne sais si « Joël-Peter Witkin nous pose face à une incongruence », tellement il me semblait que la production de celui-ci n’était propre qu’à émouvoir quelques gogos californiens, dans la répétition des clichés provocs les plus rebattus (disons depuis le cours de dissection de la grenouille en sciences nat). JP Witkin n’a pas digéré « Freaks ».
A tant vouloir être -considéré comme- un artiste, il ne parvient qu’à donner à voir un maniérisme qui a trouvé ses limites depuis longtemps. Il y a effectivement un public pour ça. Ce que Witkin sait exploiter.
Quant au texte de l’auteur, voir les commentaires précédents. Le titre du papier était pourtant alléchant.
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