L’IROQUOIS regardait la vallée, là où il venait jouer dans les neiges. Il entendit tout d’abord les cris des enfants puis la fureur des massacres anciens qui avaient succédés à l’historique découverte de l’Amérique.Il se tourna vers le ciel. Dans les nuages, Rabelais. Les vents tièdes lui portèrent sa voix : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Les nuages s’étaient étirés. L’IROQUOIS rentra chez lui. Demain serait une nouvelle journée. MB
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération