Avec cette loi à la con, les pauvres espagnoles refusant de mettre au monde un futur esclave au service de l’empire, vont devoir procéder comme la jeune femme dernièrement, qui a emmené son parasite et l’a déposé sur une plage du Nord, pour que le dit parasite se noit à la marée montante !

Vous trouvez ça mieux que l’aspiration ? plus humain peut-être !

Heureusement que l’ Espagne a une façade atlantique, parce qu’en Méditerranée, les marées, c’est pas l’idéal !

De toute façon, un embryon où un nouveau né, n’a pas de cerveau opérationel, n’a pas de pensée structurée, pas de langage : c’est une machine biologique qui bouffe, digère, chie dort et fait chier en gueulant tout le temps, c’est tout !

Ce truc peut donc être éliminé sans aucun soucis, après tout l’espèce humaine génocide bien des centaines de millions de chats, chiens et autres animaux,(qui d’ailleurs font beaucoup moins chier que les parasites humains) donc où est le problème ?

enfin, comme disait un intervenant plus haut, ça va relancer des petits boulots, et puis, tant que le déparasitage est autorisé chez nous, les espagnoles pourront venir se faire déparasiter ici, ce qui nous fera un peu de devises, on en a bien besoin en ce moment !

D’un point de vue économique, c’est une chance pour la France, sachons en profiter !

Sachons accueillir ces pauvres femmes, que leur pays prend pour des usines à marmots, pour produire toujours plus d’esclaves pour le grand système !

Et puis elles peuvent aussi à la limite imaginer de les vendre à nos couples naturellement infertiles, qui ont obtenu récemment le droit de se marier !

Elles devraient de ce pas contacter M Bergé, Pierre, grand autorité en la matière, qui ira peut-être investir en Espagne pour mettre au point quelques structures, où ces pauvres femmes iront, contre une poignée d’euros, déposer leur parasite non désiré, lequel sera ensuite orienté vers un couple XX / XX ou XY / XY français en mal d’enfant ( « parce que c’est mon droit ! ») !

Allez, allez les français, mettons-nous au boulot, y’a d’la maille à faire !

Adishatz

H/