Si les contradicteurs de service (dont le nombre s’explique par le taux élevé du chomage) avaient autre chose dans le bide que leur triste addiction à leurs habitudes culturelles qui ne vaut pas un rond et qui vient étayer leur renoncement à se remettre en question (genre : les éternelles conneries de l’homme omnivore qui ne valent plus rien aujourd’hui que nous sommes anatures), au lieu des invectives de végéphobie ordinaire, ils auraient pu nier la notion de finitude des ressources planétaires, renier le crédo probabiliste de l’annonce de la fin de « notre » monde et donc se déclarer adeptes, comme c’est clairement le cas, de l’après-moi-le-déluge ou du j’m’en tape de la souffrance animale ou encore du j’m’en tamponne des disparités de l’humanité, suis du bon côté de la côte de boeuf. Tous ces commentaires fielleux de gens à l’âme ultra laide montrent bien le sapiens civilisé tel qu’il est : une grosse merde puante.
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