La CGT nous sert son cinéma habituel et ne règle rien, au contraire : elle vient de dégouter à jamais tout repreneur éventuel et je n’ai maintenant plus aucun doute sur le fait que ce site d’Amiens va fermer.
Selon le témoignage vu sur le journal de Pujadas (faut tout regarder), un syndicaliste dégouté a avoué que les courageux preneurs d’otages ont dû jeter l’éponge sous la menace d’affronter les CRS. Forcément, Hollande a reçu un coup de fil d’un mec qui lui a dit « Comment ? J’apprends que deux ou trois de mes lointains directeurs sont kidnappés ? Pourquoi crois-tu que je t’ai confié la gouvernance de cette colonie ? » En raccrochant son téléphone, un peu confus, notre petit chef de tribu n’a eu d’autre choix que de faire vider la place.
Au lieu de ces midinette façon gros beaufs aux bras cassés qui ne prennent aucun risque en jouant les balèzes auprès d’une équipe de direction, on aurait aimé que de vrais combattants s’en prennent aux vrais proprios de la boite, c’est à dire à ceux qui y détiennent le pouvoir financier. Mais ça, c’est tellement plus difficile et dangereux - on risque vraiment d’en prendre pour dix ans - qu’il convient de ne se coltiner que le menu fretin, puisque cela suffit pour passer à la télé.
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