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Truit49 15 janvier 2014 01:20

Je vois que le texte d’Auriel fait beaucoup parler. Vous débattez tous au droit d’avoir un père et une mère. Alors j’ai une question quand le père ou la mère quitte le cocon familiale ou n’a jamais fait partie du cocon familiale d’ailleurs et que l’enfant est très jeune et qu’il n’a aucun souvenir de l’un ou l’autre, il grandit donc sans un de ses parents est-ce que pour autant l’enfant est déséquilibré et ne réussira jamais sa vie. Et bien non, personnellement je connais plusieurs personnes de mon entourage à qui s’est arrivé et aujourd’hui ils sont heureux, ont un travail, ont construit une famille. 

J’en vois déjà certain me dire « oui mais même si ils n’ont jamais connu leur père qu’il est parti, ils avaient un père. » C’est vrai mais à quoi ça sert d’avoir un père si il n’a jamais été là de toute votre vie ? On voit bien ici qu’on peut grandir et s’épanouir en ayant un seul et unique parent que ce soit un homme ou une femme. 
On va prendre un autre exemple. Vous avez un père qui est présent dans le foyer familial, mais sans aller dans le stéréotype du père violent et dans le mélodrame, ne s’est absolument jamais occupé de son enfant, ne lui a jamais apporté toute l’attention et l’amour d’un enfant à besoin. Alors oui l’enfant aura eu un père, un père présent physiquement, mais un père absent dans sa construction. L’argument d’avoir un père et une mère ne tient pas non plus. Ce n’est pas suffisant. 
Ce qui compte avant tout s’est d’avoir un ou deux parents qui vous aiment et font en sorte que vous vous épanouissiez. 
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