Valérie Trierweiler n’aura sans doute jamais sa couronne de reine. A la place, elle s’est pris la galette en pleine figure. Je ne la plains pas beaucoup à vrai dire.
Elle a beaucoup oeuvré dès le début de sa relation avec Hollande pour le brouiller sérieusement avec son ex compagne et ses enfants. A peine Hollande s’est-il installé à l’Elysée qu’elle lui carbonise définivement sa famille et son image présidentielle avec un tweet ravageur et mesquin. Elle agresse les journalistes à capuche, traite son dirlo à Paris Match de salaud, dicte ses ordres, menace, parle à tort et à travers, pique des crises pour un oui pour un non, la dernière en date au palais, les murs en ont tremblé diront les gardes, puis entame un cinéma pas possible d’épuisée nerveuse, avale des cachets (pas trop quand même, juste assez pour...) pour finalement exiger d’accompagner Hollande aux Etats-Unis, pleurnicher sur son lit d’hôpital que le Président ne l’a pas aidée à assumer son rôle, et finalement se déclarer être prête à passer l’éponge - un comble ! Alors que c’est elle qui fout le bocson. Et qui va continuer certainement, même et surtout s’il y a rupture...
Pas classe la Valérie, non, vraiment pas une reine, sauf peut-être reine des emmerdeuses, mais surtout pas reine de coeur !
On comprend Hollande au fond...
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