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Mortargent 18 janvier 2014 02:17

je crois que vous avez quasiment tout dit dans votre article. Le simple fait de se remettre en question et donc de considérer la possibilité qu’on ait pu faire des erreurs traumatise tellement les corps médicaux qu’ils font un blocage.

J’ai bien peur que face à tant d’immobilisme, et aussi de pédanterie de leur part, la seule chose qu’on puisse un jour espérer, c’est qu’ils aient tous dans leur famille très proche, un enfant autiste. Ils comprendraient sans doute alors ce qu’il en est, au lieu de se baser sur des termes et diagnostiques antédiluviens qui non seulement ne correspondent plus à rien, mais encore aggravent non seulement la situation des patients mais aussi de leurs proches.

Ce genre d’oeillères là, bien réconfortantes ne s’enlèvent pas par le dialogue, la parole ou le simple bon sens. Il faut un chox salutaire et une prise en compte physique, matérielle et humaine de ce qu’est l’autisme et de la manière de s’y confronter. Aujourd’hui peu de médecins en sont capables, et encore moins les « organisme » administratifs qui pensent chiffres, statuts, appelation d’origine contrôlée et non en termes de patients, d’humains et de soins correspondants.


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