Bonjour Serge Uleski,
je viens de lire votre excellent article, tant sur la forme que sur le fond.
Cette citation du petit Bedos (ça ne veut pas dire que je trouve pas que l’autre bien grand) que vous affichez en début d’article, : « Je ne veux pas laisser à Dieudonné le monopole de la subversion »
le dispute en cocasserie à cette autre prononcée par d’un certain Nicolas S. candidat à la présidentielle de 2007 : ’’Je ne veux pas laisser à la justice le monopole de la justice’’.
En fait, il s’était mélangé les pinceaux, et avait d’abord dit : ’’Je ne veux pas laisser à la justice le monopole de l’injustice’’. Mais s’il s’était rendu compte en le disant de l’absurdité de la première formule, ni lui ni personne ne s’était offusqué - les larbins ne se permettent pas de critiquer le maître - de ce que la seconde avait de ... subversif. Et on a été servi !
ps. Je trouve que cette façon de se cacher derrière un personnage pour décharger gratuitement leur haine et leur mépris est un vice récurrent chez les Bedos : quoi s’ils disent, ils auront toujours l’imperméable et le parapluie.
Le seul mérite de Bedos père, c’est d’avoir aidé le regretté Pierre Desproges.
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