Que de Gaulle ait trahi la parole donnée, vis à vis des populations européennes et indigènes, et vis à vis de l’armée qui l’avait pourtant porté au pouvoir, c’est incontestable.
Que de Gaulle est eu tord de le faire, cela reste à démontrer. Mon avis est que les évènements lui donnent largement raison. Qui peut croire un instant que la France puisse demeurer la France sans le peuple idoine, « de race blanche, de religion chrétienne et de culture gréco-latine » ? Billevesée que tout cela.
Et la République, qui est un cadre politique et institutionnel parmi tant d’autre, ou plutôt ceux qui s’en revendiquent exclusivement, n’ont pas à s’opposer à la France, son histoire, son intégrité. Pas plus qu’ils n’ont a professer les mensonges maçonniques sur sa prétendue universalité, et qui est une hérésie pour le coup anthropologique.
La honte et l’indignité dans cette affaire ont été de laissé massacrer les musulmans qui avaient fait le choix de la France, au risque de leurs vies donc. Oui, ça c’est à déplorer. Pour le reste, la réalité est en train de trancher.
L’ironie de cette histoire est que l’auteur est en tout point d’accord sur la vision qu’en avait Jean-Marie Le Pen, qui lui aussi voulait intégrer les populations indigènes au corps national français, il l’a dit explicitement à la tribune de l’assemblée.
Qu’en pense l’auteur ?