colza,
« Sauver l’euro » est le crédo officiel pour continuer à ponctionner les intérêts bancaires de la dette, et garantir les profits des multinationales, mais en haut lieu, ils savent très bien que l’euro ne fonctionnera jamais.
C’est dans un discours de Mario Draghi, en août 2012, qu’ Asselineau a découvert une phrase de trop.
Draghi commence par dire que l’euro est irréversible.
Juridiquement c’est vrai, puisque aucun article n’en prévoit la sortie.
C’est la suite qui est intéressante. Draghi explique qu’il y a 3 composantes du risque (sic) qui fixe les taux d’intérêt sur les obligations souveraines (emprunts d’état) :
« Le risque de crédit, le risque de liquidité... et le risque de convertibilité »
C’est-à dire le risque de change associé à la possibilité d’un effondrement de l’euro.
Et donc un risque lié à un change avec des monnaies, plus faibles que l’euro.
C’est la première fois qu’un responsable de la BCE avoue :
* que les marchés anticipent une explosion de la zone euro.
* qu’ils anticipent cet évènement, ainsi que les évolutions des taux de change.
En attendant, ils engrangent, « pourvou qué ça doure ... »
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