@ l’auteur
Je ne comprends pas vraiment la finalité de votre article, vous nous faites un déballage de toutes les théories à la mode, avec l’impression que vous ne maîtrisez pas vraiment le sujet. Il faut beaucoup de courage pour arriver au bout de l’article.
Par exemple vous parlez « d’infini » à toutes les sauces, en cosmologies par exemple, l’infini n’existe pas dans le modèle de la relativité générale autrement il y a longtemps que la terre serait transformée en fournaise, en mathématique l’infini ne pose pas de problème on l’utilise partout et en théologie l’infini c’est Dieu, c’est pour cela qu’il faut être rigoureux.
Vous parlez du rayonnement des trous noirs ? Alors que la lumière ne peut pas sortir d’un trou noir, c’est justement ça particularité.
Enfin la big question, la mathématique existait avant l’homme ou c’est l’homme qui la découvre, pour ma part la mécanique céleste décrivait des belles éclipses avant que l’homme en soit conscient, justement en physique quantique on retrouve les nombre entiers, les nombres premiers et même des suites arithmétiques (je détaille cet exemple du fait de son importance, rarement commenté) :
Le tableau ci-après indique la méthode de remplissage des quatre premiers niveaux d’énergie des électrons et le nombre d’électrons qu’ils peuvent recevoir.
NIVEAU 1 PEUT RECEVOIR UN TOTAL DE 2 ELECTRONS
NIVEAU 2 PEUT RECEVOIR UN TOTAL DE 8 ELECTRONS
NIVEAU 3 PEUT RECEVOIR UN TOTAL DE 18 ELECTRONS
NIVEAU 4 PEUT RECEVOIR UN TOTAL DE 32 ELECTRONS
En mathématiques, une suite arithmétique est une suite (par exemple de nombres) dans laquelle chaque terme permet de déduire le suivant en lui ajoutant une constante appelée raison. Par exemple 1, 3, 5, 7, 9, 11, 13… La suite des nombres impairs est arithmétique de raison 2.
L’augmentation du nombre d’électrons d’abord de 2 à 8 puis de 8 à 18 et de 18 à 32 ... , dessine une suite (6,10,14) qui peut s’apprécier comme une suite arithmétique de raison quatre, ce chiffre 4 se trouvant déjà présent dans la différence entre la première des augmentations (à savoir six) et le nombre d’électrons de la première couche, c’est à dire deux. Soit la notion de suite arithmétique, déjà indispensable lors du big bang pendant la phase de nucléosynthèse.
Pour les multivers, on peut toujours en débattre, néanmoins je ne vois pas l’intérêt, sachant qu’il ne sera jamais possible (pas le moindre epsilon d’espoir) d’exploiter la moindre information physique ou extrapolation mathématique.
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