Hélas, tout cela est bel et bien bon mais sera balayé aussitôt si le traité transatlantique passe. Et comme il n’y a que peu de chance qu’ils ne parviennent pas à nous l’enfoncer dans le fondement comme un lavement insane, les BPCE seront alors en mesure d’attaquer l’État devant une « commission privée » d’arbitrage, désignée par elles qui, bien entendu, statuera qu’il y a là une décision de justice allant contre la liberté d’une entreprise. Alors l’État français devra modifier la loi ou payer de colossales amendes.
Sic vos non vobis as usual. Quelle magnifique quenelle ils vont nous foutre au cul avec ce putain de traité, et ce n’est pas ce combat d’arrière garde qui l’empêchera.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération