Le nombre de phénomènes dangereux modélisables dans une étude de dangers étant assez restreint, et souvent commun à toutes les industries chimiques, les seules choses qui varient étant les produits et les conditions opératoires, je serais curieux de connaître les « modèles de calcul négociés » dont vous parlez. Comme vous connaissez bien la réglementation des industries chimiques et la circulaire du 10 mai 2010, vous avez sans doute pu noter que la plupart des méthodes à utiliser sont communes à toutes les installations. Les modèles « négociés » sont ils acceptables d’un point de vue scientifique ? Quels sont les phénomènes dangereux concernés ? On veut des preuves scientifiques irréfutables face à de tels propos. Merci.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération