Une anecdote pour illustrer l’insécurité ambiante :
Cet hiver, je passe un soir chez un marchand de journaux, dans une petite ville à priori très tranquille.
Surprise, la porte est fermée mais c’est éclairé à l’intérieur, et le commerçant vient m’ouvrir.
Je m’étonne de la situation et il m’informe qu’il a été braqué avec une arme quelques semaines avant, on lui a volé sa maigre caisse de vendeur de journaux.
Les policiers, en professionnels expérimentés, lui ont donné un conseil : le soir, il doit s’enfermer dans sa boutique et ouvrir quand un client se présente. Comme chez les bijoutiers, sauf que le pauvre gars gagne quelques centimes par journal !
Et il vit tous les jours dans l’angoisse de se faire braquer à nouveau.
C’est la manière de traiter l’insécurité de notre gouvernement, en 2014.
On peut appeler ça un foutage de gueule ; à vous de juger.
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