C’est reparti, on dénonce une dérive, un extrême pour mieux justifier les errances d’une démocratie ivre d’elle-même. C’est pratique, on utilise l’arme absolu « Le Nazisme » en montrant aux gogos que « Tu vois, si tu as de vilaines pensées non démocratique tu risques de faire comme les méchants Nazis ». Attitude puéril qui se veut donneur de leçon issue de principes faux et égocentriques. Plus c’est gros plus ça passe. Les démocrates de tous poils ne démontrent même plus les « valeurs » de leur systèmes (et pour cause, circulez y a rien à voir) mais justifient le vide sidéral des fondements démocratique par des contre-exemples extrémistes pour donner le change en attendant de trouver ce qui ne fonctionne pas dans leur merveilleux bric-à-brac idéologique. Ça va durer encore longtemps ? Ils ne se rendent pas compte, qu’en donnant en pâture aux dangereux déviationnistes ce genre de démonstration, qu’ils s’enfoncent encore un peu plus sur eux-même emportant avec eux un monde illusoire et prétentieux dont le chemin était pavé de bonnes intentions et qui au final ne sera qu’une formidable méprise sur l’humanité et son devenir.
