Bonjour Renaud Bouchard,

J’ai la conviction que cette crise est maintenu artificiellement pour faire céder les travailleurs en France d’accepter l’inacceptable. La France perd 800 à 1000 emplois par jour ouvrable.

J’ai attendu dans les informations que Siemens promet à ne pas licencier des gens dans les 3 ans à venir si c’est elle (la société Siemens) qui emporte l’achat. Et après ça l’histoire d’Arcelormittal vas se répéter..... une belle restructuration en perspective ?

N’oublions pas que Alstom est une société stratégique, notre indépendance énergétique en dépend...

Les américains ( FED) font tourner à fond leur planche à billet pour faire des affaires pendant cette crise qui est artificiellement maintenu sous le dictat des banques privées et de prendre ainsi le pouvoir sur des entreprises de très grande valeur et rentables.... sans y parler des la spoliation (transfert des technologies) comme cela été le cas avec GEMPLUS !

On dit que Alstom est trop petit pour faire face à la mondialisation ... Quel mensonge !

Monsieur Renaud je parié avec vous que François Hollande ignorera votre proposition car les dés sont jetés. Nous avons à faire à un gouvernement corrompu qui fait tout pour faire avancer la mondialisation au détriment de notre intérêt national

Le but de la manœuvre est de noyer la France dans la mondialisation jusqu’au moment de non retour, qui est proche, celui de la signature du grand marché transatlantique.

Quelque soit la solution, l’annonce de la vente d’Alstom énergie traduit une véritable tragédie française : nos fleurons du CAC 40 ne peuvent survivre qu’au prix d’une internationalisation pour laquelle la politique Européenne est un handicap majeur.

Le cas Alstom est exemplaire :
Pour aller où l’énergie se développe, Asie et pays émergents, Alstom aurait dû bénéficier d’un marché intérieur solide en Europe. Or en matière d’énergie – comme l’ont dénoncé les grands énergitiens européens – l’Europe, sous la pression verte ou allemande, accumule les erreurs.

De plus en France, la rentabilité des entreprises est en moyenne la plus faible de la Zone Euro.

En Europe, on choisit trop souvent l’idéologie plutôt que la rationalité du marché. L’addition des deux sera payée par les jeunes qui ne trouveront de l’emploi qu’en s’expatriant dans les économies responsables.

Sortons de l’Europe et vite.

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