la promesse (d’un médicament efficace contre le chikungunya) non tenue, alors qu’elle avait été faite avec force trompettes dans les médias officiels (« la fin de l’année » devait voir la victoire de la médecine française sur l’épidémie, au pire cette victoire était programmée à coup sûr pour : « début 2007 ») n’est-elle pas à mettre en lien avec le manque d’intérêt de la métropole pour les pathologies régnant sous les tropiques ? Alors que le moustique anophèle répand la malaria en Afrique (et pas seulement) sans que la métropole s’en émeuve, nos « autorités sanitaires » resteraient-elles impassibles si des cas de malaria (ou de chik, ou de dengue, toutes transmises par les moustiques) se déclaraient en métropole ?
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