Loin de moi l’idée de nier l’existence de l’esclavage chez les « arabes » et chez des musulmans. Mais je me dois de relever les exégèses à la con du coran.
Le coran n’autorise pas tacitement l’esclavage. Qu’est ce que ça veut dire ça encore « autoriser tacitement ». Le coran, il est vrai, n’interdit pas cela (c’est loin d’une autorisation tacite). Le coran recommande, à plusieurs reprises, de donner la liberté à un esclave (c’est même une forme d’expiation de divers pêché) et je « défie » monsieur scylax de trouver un verset dans le coran qui montre « comment » on peut faire des esclaves. Le coran, quand il a été révélé, a trouvé une situation de fait, n’autorise aucun moyen de faire de nouveaux esclaves et recommande de les libérer en « les achetant ».
J’attire aussi l’attention du lecteur que l’expression coranique « malakat aimanoukom » fait références à des concubines et non à des esclaves. Les traductions sont souvent pourries mais les futés remarqueront qu’il est souvent question de mariage avec les malakat aimanoukom (
voir ici où « l’exégète » se fait avoir comme un bleu).
Malakat Aimanoukom signifie littéralement « possédées par engagement verbal »
Le mot arabe pour esclave est abd.