Bonjour Morice,
Je vous remercie pour cet article qui m’a vivement intéressée.
Pour ma part, la mort de Marilyn, qu’elle ait été provoquée par des barbituriques ou par des armes relevait déjà d’un assassinat... La belle avait signé son arrêt de mort en fréquentant ce marigot qu’était (et peut-être est toujours) la vie intime des gouvernements Etatsuniens.
Le clan Kennedy, soudé dans une idéologie mafieuse, ne pouvait supporter que Marilyn résiste et renâcle et l’a traitée comme il l’a toujours fait avec ses multiples gêneurs.
Marilyn était connue du monde entier. Pas un journaliste sur la planète (même dans les pays fermés sur eux-mêmes) n’ignorait sa silhouette, sa voix et son glamour. Ses déclarations à la presse, même si elle passait pour une charmante idiote (qu’elle était loin d’être), auraient provoqué des séismes sanglants.
Quelques-uns de ses assassins ont été assassinés à leur tour, c’est un juste retour des choses... Pourtant, je ne peux m’empêcher de penser aux derniers instants de cette femme magnifique qui n’a pas vu ni compris la méchanceté et la veulerie de ce monde. Son image était aimée de tous, son âme et son esprit ne l’étaient de personne.
Tout de même, cette affaire est significative du verrouillage de l’information qui, déjà, existait il y a cinquante-deux ans !
Pensons à Ben Laden, au 11.09 et à bien d’autres « affaires ». Faudra-t-il attendre cinquante-deux ans avant d’en savoir un peu plus ?
Encore merci Morice. Je vous salue.