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Les prospectus sont voués à disparaître (ou au moins à prendre un sacré coup de vieux) à moyen terme. Désormais, les entreprises profitent des NTIC, comme l’Internet, pour toucher un public plus ciblé et plus réceptif. Pour cela, ils utilisent bien sûr les newsletter, mais aussi le mailing. Et ces pratiques se développent puisque l’Internet se démocratise au maximum. Aujourd’hui, près de la moitié des Français dispose d’une adresse e-mail qu’ils consultent régulièrement. Les entreprises préfèrent donc, plus par souci d’économie que par acte écologique, de privilégier le rapport « internet » avec ses prospects que le rapport traditionnel du « prospectus ». Aujourd’hui, les seuls entreprises qui emploient le prospectus sont « locales » (le plombier du village...) ou « faussement locales » (le grand magasin Auchan de la ville voisine...). Plus les fichiers s’agrandissent, la CNIL essaye de contrôler mais il est évident que ces fichiers représentent l’avenir du marketing direct : les prospectus laissent leur place, petit à petit, à un marketing direct plus axé sur la technologie : l’Internet. Donc, soyons patients et engageons-nous contre l’archi-publicité, en général.
NB : Je suis étudiant en communication des entreprises et la tendance est vraiment aux nouvelles technologies et en ce qui confirme le « classique » : l’affichage reste primordial, le prospectus est au programme mais il reste le moyen de communication privilégié par les petites entreprises.
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