"Ils croyaient aux vertus du vacarme
Assis devant nos TV dans nos murs
Nous entendions enfin ce lointain murmure
Avec un mélange de crainte et d’incompréhension"
Premièrement, au risque de vous surprendre, il y a des gens qui vivent avec cette racaille, et pour qui ce « vacarme » n’était pas un lointain murmure comme vous dites. Sans doute ne sont-ils rien pour vous, sans doute les citoyens qui doivent subir cette violence au quotidien n’ont ils jamais heurtés votre sens poétique, mais, au risque de vous surprendre, ils ont existent. Sisi. Et ils comprennent très bien d’où vient cette violence, eux.
Et deuxièmement :
"Ils ont accumulé bravades sur conneries
Brisant leurs écoles et leurs 206 pourries"
Hélas, les 206 en question appartiennent bien souvent à aux gens qui sont justes obligés de vivre avec la racaille, mais qui n’en font nullement parti. De plus, une 206 d’occasion, ça veut entre 2000 et 7000 euros. Dès lors, c’est peut être rien pour vous et votre super travail dans le multimédia qui vous laisse le temps de nous pondre de la jolie poésie comme ça, mais, pour les gens dont je parlais au dessus, ceux qui pour vous n’existent pas, c’est une pourriture qui coute déja chère.
Je rajouterais qu’il y a longtemps que l’école n’est plus rien pour la racaille et qu’il n’y a nul bravade a lancer des pavés sur des flics qui doivent maitriser sans blesser, faute de quoi, l’IGS et les grattes papiers de Libé se chargeront de les envoyer pointer à l’ANPE.
Mais le plus important, c’est que tout ça vous inspire, n’est ce pas ?
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