Le vieil adage aurait donc encore raison : « Maudit est celui par qui le scandale arrive ! »
Même si l’objet scandaleux lui-même est le fruit pourri d’autres auteurs. En somme la dénonciation de malversations serait condamnable et pas les malversations elle-mêmes puisque couvertes par le secret bancaire. De qui se moque-t-on ?
Courage Robert. On est avec vous.
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